Alors que les futures obligations de reporting extra-financier se précisent pour les entreprises européennes, les équipes s’activent, dans les directions financières comme dans les départements RSE (responsabilité sociétale), pour essayer d’être fin prêtes. Certaines entreprises ont déjà publié la part de leur activité alignée avec les objectifs climat de la taxonomie verte européenne et travaillent sur les quatre autres dédiés à la pollution, la biodiversité, l’économie circulaire et l’eau, sur lesquels elles devront communiquer d’ici à la fin de l’année. Elles attendent aussi avec impatience de connaître avec précision les futurs standards de reporting extra-financier de la directive CSRD dont la Commission européenne doit publier la version définitive cet été, avant une entrée en vigueur au 1er janvier 2024 pour les sociétés cotées.
Au cours d’un événement intitulé "Nouveau reporting extra-financier : où en sont les entreprises à quelques mois de l’entrée en vigueur de la directive CSRD ? ", les équipes de Mazars commenteront les résultats du dernier baromètre RSE sur l’état d’avancement des entreprises du CAC 40 et du SBF 120 et leur niveau de maturité en matière de reporting extra-financier, puis des intervenants extérieurs participeront à une table ronde animée par Les Echos. Ils expliqueront en quoi les sociétés peuvent améliorer la transparence et la précision des informations qu’elles publient, tout en renforçant encore la cohérence de leur démarche. Ils débattront aussi de la manière dont elles s’organisent pour traiter de ces sujets et répondre au timing particulièrement serré fixé par la Commission Européenne.